D’où vient la contredanse qui se fixera très rapidement comme 2e figure du quadrille français, à savoir l’”été” ?
Le pantalon, l’été et la poule sont les 3 premières contredanses qui se retrouvent figées dans le quadrille de contredanses qui est en cours d’élaboration depuis l’aube du XIXe siècle.
Le Prince de Ligne, diplomate né dans les Pays-Bas autrichiens, à Bruxelles, aurait dit du Congrès de Vienne : “Le congrès danse beaucoup, mais il ne marche pas”.
Dans la France du XIXe siècle, on l’a souvent appelé «quadrille anglais». De fait, même si les Lanciers est l’un des quadrilles qui sera le plus longtemps dansé dans l’Hexagone, son origine est bien étrangère : il a été publié à Dublin en 1817.
Le Saint-Simonisme est une doctrine philosophico-politique développée par Claude-Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon (1760-1825), qui, très curieusement, est transformée en Eglise aux début des années 1830 par quelques adeptes convaincus.
Venu très jeune de sa Cologne natale, le jeune Jacob intègre rapidement le Conservatoire de Paris.
Le 8 novembre 1837 sont inaugurés une série de concerts qui vont marquer les esprits : le Napoléon (français) du quadrille Philippe Musard rencontre le maître viennois de la valse Johann Strauss (senior) à la salle Vivienne à Paris.
La polka rencontre un succès grandissant en 1844. En particulier, les caricatures de Charles Vernier popularisant le concept de «polkamanie» sont publiées dans le journal «Le Charivari», et ce même si, comme nous l’avons vu précédemment, la danse circule déjà avant cette année.
Le quadrille des lanciers de Duval a été publié en 1817 en Grande-Bretagne, et pendant une quarantaine d’années la danse reste principalement confinée à la Perfide Albion.